Une hirondelle en automne
Une hirondelle, en automne,
Croyait qu’elle faisait le printemps.
Elle attend,
Elle s’étonne
Des couleurs si monotones,
Du mauvais temps,
Et de ne rencontrer personne
Que le vent…
Qui, soudain la désarçonne
Et la jette en avant
Dans la rivière qui moutonne.
Depuis ce temps,
Les hirondelles, qui n’aimaient pas l’automne,
Ne croient même plus au printemps.
Michel Luneau
un peu triste ton poète , le mien est un peu plus gai :
La vie est tellement belle,
Mais le monde si cruel.
Laissons-nous bercer
Par toutes les beautés
Qui nous sont offertes
Par notre grande Terre.
Comme l’hirondelle,
Laissons nous planer
Sur les majestueuses ailes
De la sympathie et la bonté.
Pourquoi fermer les yeux
Sur l’immensité des cieux
Qui, dans sa splendeur
Et la pureté d’une fleur
Nous montre la fragilité
De nos vies agitées.
Comme l’hirondelle,
Oublions la vengeance,
Perdons nous dans le ciel
Pour fuir les souffrances…
trés joli poeme.
Qu’elle ce mette à l’abri et qu’elle laisse passer le mauvais temps … tout vient à point à qui sait attendre. Et les beaux jours arrivent plus vite que l’on ne croit. Enfin …
Ouhh le vilain poète qui veut te noyer au lieu de te donner des vers !!! NangeDivine t’aurais certainement offert des verres et moi Yorky je vois désormais pour toi la vie en vert. Ouisou doux Nirondelle.
mais si, les hirondelles croient encore au printemps, tu en es la preuve!
Bonjour,
Joli poème que je ne connaissais pas
Je passe peu te voir, mais je suis abonnée à tes publications
En plus depuis avril période d’essai, mai prise, je suis en atelier thérapeutique où je suis bien, me sens bien, bien intégrée
Bisous et bon week-end